FilmĂ©tendard de la contre-culture. Easy Rider est un film-Ă©tendard de la contre-culture amĂ©ricaine de la fin des annĂ©es 60. Co-Ă©crit par Peter Fonda, Dennis Hopper et Terry Southern, rĂ©alisĂ© par Dennis Hopper, il porte Ă  l'Ă©cran les deux premiers mais aussi Jack Nicholson. ArchĂ©type du road-movie, il raconte le pĂ©riple Ă  travers les Etats-Unis de Wyatt et EasyRider (Deutschland) Easy Rider (Buscando mi destino) (España) Rebel de Adil El Arbi, Bilall Fallah avec Aboubakr Bensaihi, Lubna Azabal Film - Action Bande-annonce Libre Garance ! Kompromat La EasyRider, un film de James Benning de 2012. Quandon Ă©voque la moto au cinĂ©ma, le cas d'Easy Rider est forcĂ©ment abordĂ© Ă  un moment ou Ă  un autre. Car si le film de 1969 n'a pas Ă©tĂ© le premier Ă  Lacteur amĂ©ricain Peter Fonda, rendu cĂ©lĂšbre par son rĂŽle de motard dans le film Easy Rider (1969) qu’il avait coĂ©crit, est mort samedi Ă  l’aube, Ă  son domicile de Los Angeles, Ă  l LosAngeles - L'acteur amĂ©ricain Peter Fonda, rendu cĂ©lĂšbre par son rĂŽle de motard dans le film culte "Easy Rider" (1969), qu'il avait co-Ă©crit, est mort vendredi matin Ă  svtq8Lo. Passer au contenu La petite histoire de CAPTAIN AMERICA dans le road movie EASY RIDER AccueilIHistoireILa petite histoire de CAPTAIN AMERICA dans le road movie EASY RIDER La petite histoire de CAPTAIN AMERICA dans le road movie EASY RIDER Captain America, Il y a longtemps que j’avais envie d’écrire un papier sur cette moto mythique. Elle reprĂ©sente pour moi un puissant symbole de vie, d’aventure, mais aussi pour ceux qui se rappellent la fin du film Easy Rider, de mort. L’engin, baptisĂ© Captain America en rĂ©fĂ©rence au hĂ©ros de comics Marvel avait Ă©tĂ© conçu Ă  partir d’un modĂšle HD d’aprĂšs les spĂ©cifications donnĂ©e par Peter Fonda, c’est ce que ce dernier avait laissĂ© entendre aprĂšs sortie du film et son succĂšs en 1969 mais, nous verrons que c’est inexact. Il fut par contre le producteur, mais aussi coscĂ©nariste avec Dennis Hopper, le rĂ©alisateur. On ne peut parler de Captain America sans faire rĂ©fĂ©rence Ă  l’histoire racontĂ©e par ce film. Il s’agit d’un sujet anticonformiste, remettant en cause le mode de vie classique des AmĂ©ricains, mais aussi celui des communautĂ©s hippies. Cette moto est un peu le fer de lance anticonformiste de ce film culte rĂ©alisĂ© avec un petit budget. Fonda et Hopper Ă©tait les deux hĂ©ros. Ce road movie raconte le voyage deux jeunes motards, Wyatt et Billy, qui aprĂšs avoir vendu une grosse quantitĂ© de drogue, dĂ©cident de quitter Los Angeles et d’aller participer Ă  la cĂ©lĂ©bration du carnaval de la nouvelle OrlĂ©ans avec l’argent gagnĂ©. Ce faisant, ils traversent l’AmĂ©rique d’Ouest en Est, sĂ©journent dans une communautĂ©, croisent un avocat déçu qui sort de prison, ingurgitent des hallucinogĂšnes dans un cimetiĂšre en compagnie de deux putes et finissent leur pĂ©riple dans la violence et la mort. Ce film de contre culture, Ă©voque ainsi la quĂȘte de la LibertĂ© Ă  travers une odyssĂ©e Ă  moto dans les grands espaces du Sud-Ouest amĂ©ricain. Le nom du film Easy Rider » qu’on pourrait traduire par “motard cool” aurait Ă©tĂ© donnĂ© en hommage Ă  une chanson de Mae West “i wonder where my easy rider’s gone “ de 1933. Deux motos, absolument identiques, furent montĂ©es afin de pallier Ă  une Ă©ventuelle dĂ©faillance mĂ©canique. Mais l’une des deux, volĂ©e aprĂšs le tournage ne fut jamais retrouvĂ©e. C’est donc l’exemplaire que l’on voit brĂ»ler Ă  la fin du film qui Ă  Ă©tĂ© vendu. Il avait Ă©tĂ© restaurĂ© par un ancien acteur nommĂ© DAN HAGGERTY, qui Ă©tait chargĂ© de l’entretien de la bĂ©cane pendant le tournage, et en devint juste aprĂšs l’heureux propriĂ©taire. La moto connu ensuite deux autres possesseurs, avant de finir en salle des ventes en 2014 au prix jamais atteint par une moto jusqu’alors, de 1,35 million de dollars. Sauf que l’authenticitĂ© de ladite pĂ©trolette est fortement remise en cause par le propriĂ©taire texan d’une autre Captain America, Ă©galement achetĂ©e Ă  Dan Haggerty avec un certificat d’authenticitĂ© en bonne et due forme , comme la premiĂšre
 Or, Peter Fonda, qui Ă  apposĂ© sa signature sur le rĂ©servoir de l’engin reviendra sur ses premiĂšres dĂ©clarations, pour avouer que le concept de la moto, tel que rĂ©alisĂ©, n’était pas de lui. Alors, laquelle est la vraie, oĂč se trouve celle qui a disparu ? Colombo, tu as encore du pain sur la planche et tu vas pouvoir ressortir ta 403 ! Mais revenons Ă  la genĂšse de l’idĂ©e de la moto elle-mĂȘme. La moto ou plutĂŽt les motos sont rĂ©alisĂ©es en rĂ©alitĂ© par Cliff Vaughs et Ben Hardy, deux afro-amĂ©ricains. Hardy tient un petit atelier de rĂ©paration de motos dans le quartier de Watts au sud de Los Angeles, et se fait aider par un mĂ©canicien nommĂ© Larry Marcus. Cliff, au caractĂšre rebelle et contestataire, dĂ©fendant les droits de la communautĂ© noire, Ă©tait diplĂŽmĂ© en art de l’UniversitĂ© de Mexico, mais pour gagner sa vie assurait des reportages films ou photos et travaillait pour une station radio. En 1966, il couvre le procĂšs du fils d’Henri Fonda accusĂ© de possession de marijuana. Une amitiĂ© entre Peter et Cliff se forme sur fond de moto et de cinĂ©ma. Easy Rider est en route ! Vaughs, comme beaucoup de jeunes Biker de cette Ă©poque cherche des motos lĂ©gĂšres et rapides ce qui l’amĂšne Ă  rĂ©aliser ses premiers choppers. Lors de ses rides, comme Jack Nicholson dans le film, qui joue un avocat des droits civiques, il lui arrive de passer par la case prison
 Certains “Red necks ” cous rouges pour les noirs le prennent en chasse et parfois lui tire dessus. À l’évidence, les aventures de Vaughs dans les États du Sud ne sont pas sans rappeler certaines scĂšnes du road-movie. Origine matĂ©rielle des motos Suite aux discussions prĂ©cĂ©dentes, les deux hommes, Cliff et Ben, achĂštent en 1967, quatre Hydra Glide rĂ©formĂ©es du fameux LAPD , Los Angeles Police DĂ©partment pour la somme de 500 dollars piĂšce Ă  une vente aux enchĂšres. Elles seront construites en un mois avec l’aide du mĂ©canicien et facturĂ©es 1250 dollars chacune Ă  la production. Par la suite, la Columbia reprend en main la destinĂ©e du film, Hopper n’ayant plus les moyens, et il semble qu’une clause de confidentialitĂ© ait Ă©tĂ© signĂ©e entre Cliff Vaughs et le studio car au final, Cliff et Ben disparaissent du gĂ©nĂ©rique et tombent dans l’oubli le plus complet. Ils seront rĂ©habilitĂ©s en 2014 au moment de la fameuse vente. Dans le film, la Billy bike » que chevauche Dennis Hopper est un chopper relativement traditionnel pour l’époque. La Captain America que pilote Wyatt Peter Fonda est tout autre. On n’avait jamais vu une moto de la sorte ! L’angle de chasse du cadre Buchanan incroyablement ouvert rĂ©pond a une fourche d’une longueur imaginable
 Ce type de fourche est une des caractĂ©ristiques des choppers. Les choppers sont nĂ©s dans les États-Unis des annĂ©es 60. Les HD Ă©tant trop lourdes, les jeunes AmĂ©ricains se sont mis Ă  chopper, c’est-Ă -dire enlever passer au hachoir toutes les parties non nĂ©cessaires au bon fonctionnement de la moto. Cela incluait le garde-boue avant, l’arriĂšre dĂ©coupĂ©, le frein avant, les sacoches, les phares additionnels, le pare-brise, les grosses selles. Ainsi naquirent les Bobbers. Les choppers avaient en plus la susdite longue fourche, un cadre rigide pas de suspension, un embrayage suicide au pied et un levier de vitesse Ă  la main. CaractĂ©ristiques techniques de Captain America Fourche rallongĂ©e de 12 pouces pour en faire une fourche tĂ©lescopique Ă  inclinaison de 45 degrĂ©s Suspension arriĂšre hard tail queue dure Roue avant de 24 pouces Roue arriĂšre 16 pouces, pneu arriĂšre 120 mm Frein arriĂšre Ă  tambour Moteur HD 74 cubic inch 1212 cc, Pan Beam 1951 caches culbuteurs en forme de poĂȘles retournĂ©es Peinture et Ă©chappement de Cliff Vaughs Transmission 4 vitesses Cadre HD de 1951 chromĂ© Guidon de type Ape Angers accroche singe
 je n’invente rien ! Sortie de pot fish tail queue de poisson RĂ©servoir d’essence peanut cacahuĂšte Ă  la banniĂšre Ă©toilĂ©e – passages Ă  la pompe frĂ©quents ! TrĂšs grand sissy bar bar pour chochotte DĂ©marreur au kick pour les vrais mecs
 VoilĂ  donc l’histoire, un peu tumultueuse de ”Captain America” qui reste une des motos les plus fascinantes du monde, en tant que symbole de libertĂ©, d’espace, et d’un nouveau mode de vie pour les Harleyistes. Didier MANCHON PubliĂ© le 14/05/2021 Ă  1128 ETX Studio - L'emblĂ©matique "Captain America", la moto chevauchĂ©e par Peter Fonda dans le film "Easy Rider", va ĂȘtre mise aux enchĂšres au Texas le 5 juin 2021. CĂ©lĂšbre notamment pour sa banniĂšre Ă©toilĂ©e peinte sur son rĂ©servoir d'essence, la moto est aujourd'hui estimĂ©e entre et dollars. La moto, symbole de libertĂ© et des annĂ©es hippies sera vendue sans prix de rĂ©serve. Ce modĂšle exceptionnel, connu dans le monde entier, a Ă©tĂ© construit Ă  partir d'une ancienne Harley-Davidson de 1952 achetĂ©e une bouchĂ©e de pain Ă  l'Ă©poque. En 1996, l'ancien propriĂ©taire de cette moto, le collectionneur Gary Graham, a vendu la moto Captain America Ă  la vente aux enchĂšres Dan Kruse Classic Car Productions Ă  Gordon Granger. Depuis lors, la moto a rĂ©sidĂ© Ă  Austin, au Texas, oĂč elle a mĂȘme survĂ©cu Ă  un incendie en dĂ©cembre 2010. Pour rappel, "Easy Rider" est un film rĂ©alisĂ© par Dennis Hopper sorti en 1969. Il s'agit d'un road movie mettant en scĂšne deux motards partis de Californie pour rejoindre la Louisiane. Chez les puristes, l'authenticitĂ© de ce modĂšle mis en vente fait nĂ©anmoins dĂ©bat. Pour la petite histoire, deux exemplaires ont Ă©tĂ© utilisĂ©s Ă  l'Ă©poque pour le film. En 2014, l'une d'entre elles avait dĂ©jĂ  trouvĂ© preneur pour 1,3 million de dollars. Outre Captain America, une vingtaine d'autres vĂ©hicules de la collection de Gordon Granger seront Ă©galement proposĂ©s aux enchĂšres le 5 juin prochain, tous sans prix de rĂ©serve. Ce sera par exemple le cas de plusieurs Rolls-Royce des annĂ©es 20 et 30, d'une une Jaguar XK120 Roadster de 1954 ou encore d'une Ford Mustang cabriolet de 1964. A noter aussi la prĂ©sence dans cette vente d'une rĂ©plique de la fameuse Dodge "General Lee" de la sĂ©rie "ShĂ©rif, fais-moi peur" ! Dan Kruse Classics, le 5 juin 2021 Ă  Midland, dans le Texas, site Web Born to be wild, le long de la Route 66 Souvenez-vous. Easy Rider, c’est l’épopĂ©e amĂ©ricaine Ă  deux-roues d’un duo, jouĂ© par Dennis Hopper et Peter Fonda, rejoint plus tard par Jack Nicholson. Rien que ça. Le casting explosif annonçait dĂ©jĂ  la couleur. AprĂšs un business de drogue rondement menĂ©, le gang de motards se fixe l’objectif de rallier la Nouvelle-OrlĂ©ans Ă  temps pour le carnaval, depuis Los Angeles. Mais pas sur n’importe quelle bĂ©cane au guidon de leur chopper Harley Davidson — 4 Harley Hydra Glide Panhead de 1951 au total seront utilisĂ©es pour la rĂ©alisation du film — les rebelles taillent la route avec pour seul credo la quĂȘte de libertĂ©. De Santa Monica Ă  Flagstaff, on plonge alors au cƓur d’une expĂ©dition initiatique un voyage moto en plein AmĂ©rique des sixties sur fond de mouvement hippie et de paysages du grand Ouest. La libertĂ© en Ă©tendard Veste Ă  franges, cheveux longs au vent, pattes et moustaches, drogue et prostitution les acolytes et leur monture pĂ©taradante dĂ©tonnent dans des Ă©tats du Sud ruraux aux mentalitĂ©s conservatrices. Mais lĂ  rĂ©side toute la force du film. Bien plus qu’un simple long-mĂ©trage d’aventure Ă  la bande-son rock’n’roll, Easy Rider questionne avec succĂšs la notion de libertĂ© dans nos sociĂ©tĂ©s occidentales. Un symbole revendicatif qui signe non seulement le dĂ©but d’une nouvelle Ăšre pour le cinĂ©ma indĂ©pendant, mais propulse aussi sur le devant de la scĂšne les choppers. Quintessence de l’ñme amĂ©ricaine, ces motos custom Ă  la fourche longue s’allĂšgent des parties trop lourdes de la Harley — chopper vient du verbe to chop », couper » en français — pour gagner en vitesse et puissance. Un style lĂ©gendaire popularisĂ© par Easy Rider et sa fameuse Captain America qui lie Ă  jamais ce mode de vie et de dĂ©placement Ă  un sentiment de libertĂ© absolue. Vous aussi, partez pour l’aventure d’une vie explorer l’Himalaya sauvage en road trip moto ! Rejoignez Vintage Rides lors d'un voyage Royal Enfield au Ladakh, placĂ© sous le signe du dĂ©paysement et de l’authenticitĂ©. CrĂ©dits photo - - - Vous avez aimĂ© cet article ? Partagez le ! Articles Ă  la une Lire l'article 23/08/2022 Anne-France Dautheville L'Aventure D'une Vie Podcast Anne France Dautheville c'est forcĂ©ment un nom qui rĂ©sonne dans nos Ăąmes d'aventurier. C'est elle la premiĂšre femme Ă  avoir traversĂ© le monde Ă  moto, dans les annĂ©es 70. Aujourd'hui Ă  77 ans, elle nous raconte avec toujours autant de passion dans la voix, l'histoire d'une vie sur la route, de l'Afghanistan au PĂ©rou en passant par l'Australie. Lire l'article Lire l'article 21/12/2021 Voyages en Argentine avec Simon Simon vient de rejoindre l'Ă©quipe. InstallĂ© depuis bientĂŽt 10 ans en Argentine, il a créé deux nouveaux itinĂ©raires pour dĂ©couvrir l'Argentine en Royal Enfield Himalayan. Il nous parle de ces nouveaux voyages moto en AmĂ©rique du Sud et de son pays de coeur qu'il aime tant. AssurĂ©ment, vous aurez envie de rejoindre Simon pour une balade Ă  moto sur les hauteurs des plateaux andins ! Lire l'article Lire l'article 01/10/2021 5 raisons de partir en Tanzanie Ă  moto Voyager Ă  moto en Tanzanie tient de l’ordre du rĂȘve ! En quĂȘte d’aventures sur le continent africain, nous vous emmenons pour un voyage moto d’exception en Royal Enfield Himalayan au milieu de sites naturels Ă©poustouflants de la vallĂ©e du Grand Rift. Peu d'endroits dans le monde offrent un dĂ©paysement aussi variĂ© et intensĂ©ment beau. VoilĂ  5 bonnes raisons de nous suivre sur les pistes secrĂštes de la Tanzanie Ă  moto. Lire l'article Merci d’avoir souscrit Ă  la newsletter Vintage Rides ! Evadez-vous avec notre derniĂšre vidĂ©o du moment Retourner sur le site Vintage Rides NOTRE ÉQUIPE VA ÉTABLIR VOTRE CARTE CADEAU ET PRENDRA CONTACT AVEC VOUS POUR PROCÉDER AU RÈGLEMENT NOUS RESTONS À VOTRE DISPOSITION POUR TOUTES QUESTIONS AU 04 87 91 31 96 Merci de complĂ©ter les informations suivantes Merci de complĂ©ter les informations suivantes Merci de complĂ©ter les informations suivantes Merci de complĂ©ter les informations suivantes On savait que le rappeur amĂ©ricain Action BronSon avait la cuisine comme passion. Il aime aussi la moto, comme le montre son dernier clip, Easy Rider », hommage sous influence au film dans lequel Peter Fonda circule au guidon de Captain America. Oui, ce mĂȘme chopper qui va finir aux enchĂšres Ă  1M$
 Il existe toutefois quelques diffĂ©rences entre le chop’ d’Action Bronson, qui est un shovelhead, et celui de Peter Fonda, un panhead ; le rĂ©servoir de l’ancĂȘtre de 69 Ă©tait bariolĂ© de la banniĂšre Ă©toilĂ©e, qui, dans le clip de BronSon, n’orne que le bandana du guitar hero ». Enfin, le rappeur se promĂšne en solitaire, tandis que Fonda ne partait jamais sans son compĂšre Hopper. Ces dĂ©tails mis au point, le clip d’Action BronSon, rĂ©alisĂ© par Tom Gould, est complĂštement dingue Le film hippie n’est pas l’unique rĂ©fĂ©rence croisĂ©e au coin d’un plan. On y trouverait mĂȘme, d’aprĂšs une compile de 50 ans de pop culture amĂ©ricaine. Nous on a reconnu une allusion au trip sous acide et alcool de Johnny Depp et Benicio del Toro dans Las Vegas parano » de Terry Gilliam, mais aussi un hommage Ă  Jimi Hendrix, qui aurait glissĂ© lors de nombreux concerts, un comprimĂ© d’acide sous son bandana ; enfin Sons of Anarchy n’est sans doute pas loin d’ĂȘtre la source d’inspiration du fight entre BronSon et les bikers
 Amusez-vous Ă  reconnaĂźtre ces rĂ©fĂ©rences, mais surtout ne cherchez pas Ă  imiter le rappeur, qui conduit sa moto sous influence
 A dĂ©couvrir, le livre Bikers, les motards sauvages Ă  l’écran », encyclopĂ©die de la sĂ©rie B amĂ©ricaine, en vente dans la Boutique Les coffrets DVD de la sĂ©rie Sons of Anarchy sont Ă©galement disponibles dans la Boutique Le chopper Harley-Davidson baptisĂ© Captain America, avec ses documents d’identification et une lettre de Peter Fonda, va ĂȘtre vendue par la maison d’enchĂšres spĂ©cialisĂ©e dans le divertissement, Profiles in History, le 20 octobre Ă  Calabasas, une banlieue de Los Angeles, en Californie. Peter Fonda, les jambes Ă©tendues sur son chopper dĂ©corĂ© de la baniĂšre Ă©toilĂ©e est l’une des icĂŽnes du cinĂ©ma amĂ©ricain», a expliquĂ© Joseph M. Maddalena, dirigeant de la maison d’enchĂšres. Cette moto gĂ©nĂšre des Ă©motions puissantes mĂȘme pour ceux qui ne sont pas des bikers. Elle symbolise les annĂ©es 60, les bons et les mauvais cĂŽtĂ©s de cette dĂ©cennie». Une Ă©motion qui se transforme en monnaie sonnante et trĂ©buchante dans les yeux de ce cher Joseph la mise Ă  prix est estimĂ©e Ă  1 million de dollars €, voire 1,2 M$ €
 Il y a eu deux motos Captain America crĂ©es pour Easy Rider », des choppers Harley-Davidson Ă  moteur V-twin panhead, le rĂ©servoir dĂ©corĂ© de la banniĂšre Ă©toilĂ©e. Deux, pour que le tournage puisse continuer mĂȘme si l’une Ă©tait dĂ©truite ou en panne. La moto vendue est celle utilisĂ©e pour la scĂšne d’accident Ă  la fin du film. Easy Rider », Ă©crit par Peter Fonda, Dennis Hopper et Terry Southern, interprĂ©tĂ© par les deux premiers et rĂ©alisĂ© par Hopper, est, au-delĂ  du film moto, l’un des Ă©tendards de la contre-culture amĂ©ricaine des annĂ©es soixante. Ca commence plutĂŽt bien, comme une ode Ă  la libertĂ© de circuler dans les grands espaces amĂ©ricains, Ă  la rencontre de la gĂ©nĂ©ration beatnik de l’époque. Le film profite d’une bande-originale rock’n’roll et psychĂ©dĂ©lique parfaitement orchestrĂ©e, qui a notamment rĂ©vĂ©lĂ© Born to be wild » des Steppenwolf. N’oublions pas If 6 was 9 » de Jimi Hendrix, ou The Weight » du groupe Smith. Mais l’AmĂ©rique des sixties reste le pays des antagonismes, entre babas-cool et policiers fĂ©roces, jeunes avides d’émancipation et paysans racistes, rĂ©actionnaires, armĂ©s qui plus est. Les motards l’apprendront Ă  leurs dĂ©pens
 En 2008, la CinĂ©mathĂšque Française organisait Ă  Paris une expo rendant hommage Ă  Dennis Hopper, acteur, rĂ©alisateur mais aussi peintre Ă  ses heures. Moto Magazine, partenaire de l’opĂ©ration, faisait venir du musĂ©e italien de Cingoli une rĂ©plique de Captain America. L’émotion Ă©tait Ă  son comble lorsque Hopper, dĂ©jĂ  malade, s’installait sur la selle du chopper dans le hall de la CinĂ©mathĂšque
 L’actrice Karen Black vient de mourir Ă  Los Angeles. Cette AmĂ©ricaine fut rĂ©vĂ©lĂ©e dans Easy Rider », film culte de Dennis Hopper, dans lequel deux motards traversent en Harley les States partagĂ©s entre conservatisme et libĂ©ration des moeurs durant les annĂ©es 60. Karen Black joue une prostituĂ©e qui rencontre les voyageurs, Peter Fonda et Dennis Hopper. La scĂšne, restĂ©e fameuse, fut tournĂ©e dans un cimetiĂšre, oĂč les protagonistes dĂ©foncĂ©s au LSD divaguent en d’interminables hallucinations. Drogue, sexe, libertĂ© et moto, tel Ă©tait le message qui a marquĂ© toute une gĂ©nĂ©ration. Enfin, moto
 il est Ă  noter que dans cette scĂšne, les bĂ©canes sont restĂ©es au parking, et c’est sans doute mieux ainsi. Karen Black accĂšdera Ă  la notoriĂ©tĂ© grĂące Ă  son rĂŽle dans Cinq PiĂšces Faciles », de Bob Rafelson 1970 oĂč elle croise Nicholson photo, qui jouait lui aussi dans Easy Rider ». Elle gagne une nomination aux Oscars et un Golden Globe. Elle tourne Ă©galement dans Gatsby le Magnifique » de Jack Clayton 1974, avec Hitchcock Complot de famille » en 76 et Altman Nashville » en 75. Puis elle se perd dans des sĂ©ries B, prend de son propre aveu un mauvais chemin et ne parvient pas Ă  retrouver la bonne route. En 2010, miss Black annonce Ă  ses fans qu’elle a un cancer, lance une souscription pour l’aider Ă  payer ses frais mĂ©dicaux, rĂ©colte dollars mais ne peut suivre le traitement espĂ©rĂ© en Europe. Elle dĂ©cĂšde donc trois ans plus tard, Ă  74 ans, et rejoint Dennis Hopper parmi les Ă©toiles. Gageons qu’il lui reste encore quelques pilules Ă  partager avec Karen. 11 avril 2008 5 11 /04 /avril /2008 2139 Easy Rider, film amĂ©ricain en couleurs de Dennis Hopper, rĂ©alisĂ© en 1969 Dans les annĂ©es soixante, deux beatniks » californiens, Billy Peter Fonda et Wyatt Captain America » Dennis Hopper, sillonnent Ă  moto les vastes Ă©tendues amĂ©ricaines vers le carnaval de la Nouvelle-OrlĂ©ans, dĂ©pensant l’argent qu’ils ont gagnĂ© en vendant une grosse quantitĂ© de drogue. Ce mode de vie marginal leur vaut bien des ennuis. JetĂ©s en prison dans une petite ville du Texas, ils se lient d’amitiĂ© avec un jeune avocat alcoolique, Hanson Jack Nicholson, qui dĂ©cide de les suivre un moment dans leur pĂ©riple. Repartis sur les routes, ils doivent faire face, dans les villes qu’ils traversent, Ă  l’hostilitĂ© croissante des habitants. Hanson est battu Ă  mort alors que le trio campe une nuit Ă  la belle Ă©toile. En guise d’hommage Ă  leur ami mort, les deux motards organisent une fĂȘte au LSD dans un cimetiĂšre en compagnie des prostituĂ©es Mary Toni Basil et Karen Karen Black. Puis Billy et Wyatt se lancent Ă  la poursuite des assassins, poursuite qui tournera au drame. Co-Ă©crit avec Terry Southern, le scĂ©nariste de Docteur Folamour Dr Strangelove, or How I Learned to Stop Worrying and Love the Bomb, 1964 de Stanley Kubrick, Easy Rider est d’abord le film-culte d’une gĂ©nĂ©ration qui prend la parole aprĂšs 1968. C’est un pamphlet dĂ©diĂ© aux hippies et Ă  leur dĂ©sir d’une autre vie, vouĂ©e aux plaisirs de l’amour libre, de la drogue, des voyages et de la musique la bande originale fait entendre Steppenwolf ou Jimi Hendrix. Mais le film de Dennis Hopper gagne davantage Ă  ĂȘtre considĂ©rĂ© relativement Ă  l’histoire des États-Unis et de son cinĂ©ma. En effet, l’annĂ©e 1969 voit Hollywood se retourner progressivement sur son passĂ© pour apporter un regard plus critique sur les mythes qui l’ont constituĂ©. Tout en Ă©tant le road-movie par excellence, Easy Rider ne peut Ă©chapper dans cette perspective Ă  une lecture qui le rattache aux grands schĂ©mas du western, comme en tĂ©moigne la visite du parc de Monument Valley, cadre naturel du western depuis la ChevauchĂ©e fantastique de John Ford. Qui sont en effet Billy et Wyatt dans cette sociĂ©tĂ© blanche » et puritaine, sinon les frĂšres des Indiens massacrĂ©s quinze ans avant auparavant dans de nombreux westerns ? Le film hippie iconoclaste se transforme donc en une critique de l’AmĂ©rique, critique conjuguĂ©e Ă  la fois au passĂ© — et visant alors de façon presque explicite le gĂ©nocide indien — et au prĂ©sent, stigmatisant une AmĂ©rique rĂ©actionnaire Ă  de nombreux Ă©gards et incapable de tolĂ©rer la marginalitĂ© et la diffĂ©rence. Un excellent montage vidĂ©o du film Ă  visionner ci-dessous cliquez sur Play sans oublier de stopper la playlist Ă  l'Ă©coute actuellement La bande son du film Ă  l'Ă©coute ci-dessous Biographie de Dennis HopperActeur, rĂ©alisateur, scĂ©nariste et monteur amĂ©ricain NĂ© Ă  Dodge City le 17 mai 1936 DĂšs sa plus tendre enfance, Dennis Hopper s'intĂ©resse au théùtre et fait preuve d'une grande passion pour les piĂšces de William Shakespeare. Ses dĂ©buts d'acteur se dessinent aux cĂŽtĂ©s de James Dean, dans un Ă©pisode de 'Medic' en 1955. Il y joue le rĂŽle d'un jeune Ă©pileptique. Grand admirateur de Dean, il rĂ©alise encore deux prestations Ă  ses cĂŽtĂ©s dans 'La Fureur de vivre' et dans 'GĂ©ant', en 1956. EbranlĂ© par la mort de cet artiste icĂŽne, Dennis Hopper part Ă  New York et Ă©tudie Ă  la Lee Strasberg Acting School. Il apparaĂźt ensuite dans plusieurs sĂ©ries tĂ©lĂ©, comme 'Bonanza' ou 'La QuatriĂšme Dimension'. En parallĂšle, il devient photographe, peintre et poĂšte. Mais la casquette de rĂ©alisateur de Dennis Hopper n'est pas inconnue d'Hollywood, bien au contraire. 'Easy Rider' est l'un de ses films qui a le plus marquĂ© les professionnels du 7e art aux Etats-Unis. Pourtant, Denis Hopper cesse d'Ă©crire et de rĂ©aliser. Ses penchants pour la drogue et l'alcool le conduisent tout droit dans les couloirs d'un centre de dĂ©sintoxication. Ses dĂ©pendances soignĂ©es, sa carriĂšre redĂ©marre doucement. Une nouvelle impulsion lui est donnĂ©e par David Lynch, qui le fait tourner dans 'Blue Velvet'. PersonnalitĂ© incontournable du cinĂ©ma US, Dennis Hopper est trĂšs respectĂ©. Il poursuit sa carriĂšre avec brio. Biographie de Peter FondaCinĂ©aste et acteur amĂ©ricainNĂ© Ă  New York le 23 fĂ©vrier 1940 Fils du lĂ©gendaire acteur Henry Fonda et frĂšre de Jane Fonda, Peter Fonda vit pour le monde du cinĂ©ma depuis sa petite enfance. Le jeune homme fait ses Ă©tudes Ă  l'UniversitĂ© d'Omaha. TrĂšs vite, il rejoint la troupe de théùtre de la facultĂ©. Il pose son premier rĂŽle dans la piĂšce 'Harvey'. En 1961, le jeune comĂ©dien fait ses dĂ©buts Ă  Broadway dans 'Blood, Sweat And Stanley Poole'. En 1963, il entre dans le monde du cinĂ©ma grĂące Ă  un petit rĂŽle dans le film 'Les Vainqueurs'. En 1966, il est Ă  l'affiche des 'Anges sauvages', aux cĂŽtĂ©s de Nancy Sinatra. En 1969, il produit, co-scĂ©narise et joue dans 'Easy Rider', sous la direction de son grand ami Denis Hopper. En 1971, il se confie le premier rĂŽle du long-mĂ©trage 'L' Homme sans frontiĂšre'. Cette premiĂšre rĂ©alisation sonne l'apogĂ©e de la carriĂšre du cinĂ©aste. La suite est moins Ă©tincelante. A partir de 1974, il enchaĂźne les rĂŽles secondaires comme dans 'Open Season', 'Fighting Mad' et 'ColĂšre Froide' en 1976. En 1996, on retrouve l'acteur dans 'Los Angeles 2013' aux cĂŽtĂ©s de Kurt Russel. Il continue avec 'Ulee's Gold' oĂč il incarne un homme tourmentĂ© par la disparition de sa fille. En 1998, il joue avec Terence Stamp dans 'L' Anglais' de Steven Soderbergh. Un rĂ©alisateur qu'il retrouve en 2004 sur le tournage du film 'Ocean' s 12'. Fort de ses origines, Peter Fonda continue de se montrer devant la camĂ©ra. En 2007, il croise Nicolas Cage dans 'Ghost Rider'. Biographie de Jack Nicholson Acteur amĂ©ricain NĂ© Ă  Neptune, New Jersey le 22 avril 1937 AprĂšs avoir grandi auprĂšs de sa grand-mĂšre, Jack Nicholson s'installe Ă  Los Angeles Ă  l'Ăąge de dix-sept ans, oĂč il exerce divers mĂ©tiers, suit des cours de comĂ©die et apparaĂźt dans des sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es. Roger Corman le prend alors sous contrat. Pendant dix ans, il tourne dans des films Ă  petits budgets, Ă©crit des scĂ©narios et collabore au financement de productions indĂ©pendantes. En 1969, il triomphe dans 'Easy Rider', vĂ©ritable Ă©loge de la contre-culture de son Ă©poque, qui marque les dĂ©buts d'un nouveau genre cinĂ©matographique, le road movie. Ce film aujourd'hui culte raconte l'errance de deux motocyclistes dans l'AmĂ©rique des annĂ©es 1970. Les rĂŽles s'enchaĂźnent et Jack Nicholson tourne avec les plus grands Vincente Minnelli, Roman Polanski ' Chinatown', Michelangelo Antonioni ' Profession reporter', Arthur Penn ' Missouri Breaks', Stanley Kubrick ' Shining', Tim Burton ' Mars Attacks', Martin Scorsese ' Les InfiltrĂ©s', ou encore Milos Forman, dans 'Vol au-dessus d'un nid de coucou', qui lui vaut son premier oscar. Plus rĂ©cemment, il joue aux cĂŽtĂ©s de Morgan Freeman dans 'Sans plus attendre' rĂ©alisĂ© par Rob Reiner, le crĂ©ateur de 'Quand Harry rencontre Sally'. Jack Nicholson a Ă©galement rĂ©alisĂ© de nombreux films. Couvert de prix internationaux, cet acteur flamboyant, cĂ©lĂšbre pour son sourire et son jeu de sourcils, aura touchĂ© Ă  tous les genres cinĂ©matographiques avec brio - de la comĂ©die au drame psychologique en passant par le film d'horreur et le mĂ©lodrame - incarnĂ© des personnages mĂ©morables et su apprivoiser le systĂšme hollywoodien, tout en rĂ©ussissant Ă  cultiver une image de marginal.

il a realise le film easy rider